RP :
Nom : Durpierre
Prénom : Anette-Mérédith
Age : un bon nombre d'années
Sexe : feminin
Description physique et mentale (minimum 10 lignes) : Des yeux déterminés noisettes, des cheveux feu légèrement destructurés mélangeant les boucles naturelles aux tresses, des tâches de rousseurs emplissant son visage durci par la souffrance, d’apparence naïf, elle porte le nom de Anette. Du haut de ses 135 cm, les bras et les jambes bien musclès par de longues années de labeurs pour aider sa mère à la ferme, Anette était d'une nature courageuse et débrouillarde. Elle manie avec dextérité la plupart des armes de lancers (tir à l'arc, fusil, arbalette....) et éprouve une certaine attache pour la nature...Patiente, elle passait toutes ses heures de temps libre dans la forêt à étudier la faune, la flore, les moindre traces, les moindre empreintes, les moindre signe...Elle chassait pour subvenir aux besoins de sa mère...Elle lisait dans la forêt comme dans un livre...
Anédocte :
« Anette ne connaissait pas l’identité de son père, le seul objet qui restait de lui, était ce médaillon qu’elle ne quittait jamais. On pouvait y voir des initiales gravées T.F. Sa mère, sans doute pour la protéger, lui répétait à chaque fois que son père était mort en héro… Têtue et déterminée à connaitre ses origines, Annette décida de mener sa propre enquête… »Origine, histoire et cursus (minimum 15 lignes) :Anette-Mérédith Durpierre, fille illégitime de Mérédith Durpierre paysanne de la vallée des frigères et d’un paladin, partisan et protecteur de l’un des cinq chevaliers de la Main d’argent.
Anédocte :
« Le pauvre paladin mourut en servant la Main d’argent et les moins fortunés avec son âme pure et son épée. Quand il vit le fléau détruire sa maison et transformer ces amis en mort-vivant, sans même pouvoir intervenir, le chagrin l’envahit. Il rejoignit son ancien mentor dans la nouvelle croisade. Aveugle face aux agissements mal intentionnés de la croisade écarlate, il leur confia ses terres. Mais les années passèrent, il commença à être moins crédule aux bienfaits de son mentor et décida de fuir. Sa fuite le conduisit vers une petite fermette, très bien entretenue, il demanda l’hospitalité à la paysanne. De cette hospitalité naissait un grand amour entre ses deux jeunes personnes. Ce paladin pensait refaire sa vie avec Mérédith. De cette union illégitime naquit une petite fille. Mais la croisade écarlate menée par le grand inquisiteur Illidien, apprit le changement subite de position de son adepte et ordonna son exécution sur le champ…sa fille n’avait que 6 mois. »Histoire :« Par un matin estival, Anette et sa mère vaquèrent à leurs occupations de fermières. Une pansaient les bêtes et les nourrissaient, l’autre s’occuper du peu de champs qu’elles possédaient et amasser les récoltes de chatoyante. La mère d’Annette, après la perte de son bien aimé, le père d’Annette, décida de s’expatrier vers un endroit plus sécurisant pour sa fille, vers la comté.
Le soleil Brillait au dessus d’elle, ce ciel bleu magnifique et ses collines qui entouraient la petite maisonnette, réchauffa le cœur de cette jeune naine.
Tout à coup, un crieur se fit entendre, porteur d’une mauvaise nouvelle. Il s’arrêta devant Annette et sa mère, essoufflé.
« les Orcs, Mesdames les Orcs envahissent la comté de l’or. Il faut vous cacher, fuir.
Les visages des deux femmes se figèrent. Au loin on pouvait voir la fumée laisser par les Orcs. Des cris, des pleurs de terreur résonnèrent.
« Mère, il faut vous cacher, vite, vite. «
Anette prit sa mère par le bras et la conduisit au sous sol. Elle poussa sa mère et referma la trappe derrière elle.
« Anette, où vas-tu ? Reviens stp ? Cria telle derrière la trappe. Tu dois rester avec moi, les Orcs sont sans cœur, ils te tueront…
-Ne vous inquiétez pas mère, je reviendrais avec du secours. Je connais la forêt comme ma poche. Rien ne pourra m’arrêter, dit Anette en camouflant la trappe avec la chabraque du cheval. »
Le coutelas à la main, elle s’éclipsa de la maison familiale. A pas déterminés et malgré le handicap de sa taille, elle se faufila entre les arbres, parcourait les ruisseaux en faisant attention de ne laisser aucune trace. Annette durant ses années apprit à connaitre chaque ficelle de la nature, à comprendre les arbres, les fleurs, les animaux, les pierres, évitant ainsi la population humaine assez moqueuse sur son apparence...
Anedocte :
"...Tout à coup elle entendit un dialecte inconnu et des cris stridents provenant d’une voix animale.
Un orc, seul, pour le plaisir, martyrisait un ours brun. sa mère, l'ourse, à côté, avait succombé aux coups de l’orc. Discrètement, Anette grimpa à l’arbre. De ses pieds nus, elle gravit avec légèreté l’écorce de cet arbre. Et de branches en branches, elle s’approcha avec une agilité impressionnante de ce monstre. L'ourson l’aperçut. Elle le supplia du regard de ne rien faire. Une brise de vent jaillit faisant tomber une feuille sur l’épaule de l’orc. Au moment où l’orc leva la tête. Anette, du haut de ses 135 cm et avec une dextérité sans limite, sauta sur lui et lui transperça le cœur avec son coutelas à plusieurs reprises. Dans un cri d’agonie, l’orc s’effondra devant elle. Elle prit l'ourson blessé et l’emmena avec elle. En haut de la montagne, elle le posa. Elle lui pansa sa patte légèrement ensanglantée. Elle prit soin de nettoyer la plaie avec l’eau de source qui jaillissait de la montagne. Une fois remis sur patte, Elle le chassa et continua son chemin ...
Tout à coup...derrière elle, elle entendit un petit craquement de branches... Le coeur palpitant, elle serra son coutelas et se retourna....A sa grande surprise, l'ourson, la suivait....
"Psst... allez va t'en petit ours, ouste, dit elle en agitant ces mains"
L'ours, un peu pataud refusa et s'assit sur son derrière. Têtu, il resta.
"Bon, très bien, si tu te fais attrapper par un orc, je ne viendrais pas te sauver une nouvelle fois, tu l'auras voulu, dit elle simplement en haussant les épaules"
Ils devinrent inséparables...Annette arriva à le dresser...""Au loin, Anette vit l'abbaye, c'est là qu'elle devait se rendre, elle le savait des rumeurs dans la ville de Hurlevent circulaient au sujet d'un Grand homme, Chevalier de la Main d'argent, aux services des plus démunis. Du haut de sa colline, elle scrutait analysait le chemin le plus rapide et sécurisant pour se rendre là bas. A son grand desespoir, elle put aperçevoir que les orcs avaient pris plus d'ampleur...Les vignes de l'amie de sa mère n'était que feu, poussière et cendre. Les gardes étaient sur le qui-vive prêt à donner l'assaut.....Elle aperçut ce petit chemin terreux..Elle savait que les sentinelles des gardes faisaient des allées et retours, à dos de cheval, tous les cents pas..."
Elle sauta...profitant des arbres encore entiers pour se cacher...Cinq pas et hop, là voilà, de sa silhouette fine, cachait derrière un gros tronc.
Trois pas, et enfin Anette était dans une zone sécurisée... Elle courut vers l'abbaye en criant.....
Annette salua les gardes, ses cheveux tous raides et non peignés, ces vêtements poussiéreux et légèrement ensanglanté, interpella un garde :
"Et, vous là, ne vous approchez pas de l'abbaye !"
"bonjour, sire, je dois absolument voir le Sénéchal s'il vous plaît, laisser moi rentrer"
- Vous avez un rendez-vous ?"
Face à l'entêtement de ce Maréchal, elle montra un énervement, les larmes commençaient à lui monter en pensant à sa pauvre mère sous la trappe. Annette se mit à crier :
Je vous en supplie, sire, je dois le voir c'est une question de vie ou de mort !!"
Non loin de la porte d'entrée, Anette aperçut un homme très élégant, certes, sur lui pesait de longues années mais sa prestance était-elle qu'elle ne passait pas inaperçue. Elle s'agenouilla devant cet homme tout d'or vêtu.
Quel est ce tintamarre Maréchal ? S’enquit-il.
Le garde fit une révérence et montra cette jeune fille.
"Bonjour, Sénéchal, dit-elle d'une voix tremblante. Je suis navrée de vous importuner par ces temps de guerre, mais...
"Relevez vous chère enfant, donnez vous la peine de rentrer, coupa le sénéchal en montrant la porte."
Anette, en s'excusant, devança le Sénéchal. Cette abbaye était vraiment magnifique et impressionnante. Ils montèrent un large escalier. Ces yeux scruta les moindre détails, elle vit même quelques livres éparpillés...Les murs et le marbre semblaient froids mais la présence de rambardes en bois réchauffait la pièce. Le Sénéchal, galant, ouvrit la porte de son bureau et pria Annette de rentrer. Le regard et le visage d'Anette s'emplirent d'une magnifique expression d'émerveillements à la vue de tous ces livres, judicieusement rangés dans les étagères.
"Tout ceci vous appartient Sénéchal ?
- oui, cette bibliothèque appartient à l'abbaye , rectifia t'il."
Le Sénéchal écouta attentivement Anette, et ordonna aux gardes de se rendre immédiatement à la fermette pour récupérer sa mère... et proposa l'hospitalité à son invité affamé.
"Sénéchal, nous avons un ourson brun, là juste devant l'abbaye comment faisons nous, s'écria l'un des garde.
Anette en dévorant le pain et le lait s'empressa de dire :
"Ne lui faites pas de mal s'il vous plaît, il me suit depuis tout à l'heure !! Il est inoffensif !(...)
Anédocte :
"Le Sénéchal mit en sécurité la mère de Anette et lui proposa un poste en tant que cuisinière, elle accepta, sa propriété étant détruite et n'ayant plus aucune ressource pour subvenir aux besoins de sa fille. Annette, attirée par un ordre militaire, accepta le rôle d'écuyère. Elle accompagna le Sénéchal partout, acceptant sa formation comme un cadeau inespéré...Au fur et à mesure des années, Annette et sa mère restèrent fidèles au Sénéchal, jusqu'au jour, où une bataille dans les terres d'arathi tourna mal....Le sénéchal disparut, laissant Annette, livrée à elle-même. Sa formation sur les stratégies offensives et défensives s'était arrêtée prématurément. Sans oublier les précieux conseils du Sénéchal. Elle continua à s'entraîner au tir à l'arc, à l'arbalette et apprit à pister, à dresser les animaux...Elle devint une excellente chasseresse." Cinq années passèrent. An 32, premier mois, Anette, cherchant un but à son existence, errait de forêts en village, de ports en capitales, Solitaire, avec son fidèle ours, elle peaufina sa maitrise de la survie, du pistage etdu dressage, apprenant à vivre avec le stricte minimum...Elle errait dans les rues de Hurlevent, cherchant à vendre le cuir qu'elle avait...
Elle écoutait, observait...Assise sur le banc de la cathédrale, comptant ses quelques pièces d'or gagnées à la sueur de son front. Elle écouta le crieur :
"La gazette de Hurlevent", édition limitée, demander la pour la modique somme de 50 pièces d'argent ! A la une, une fête pour le voile d'hiver, une maison de couture déménage et d'autres nouvelles...."Anette fit signe au crieur et acheta le journal...Elle porta une légére intention aux pages du journal quand tout à coup, elle s'arrêta à la page 5... La page du publi-reportage expliquant les origines d'une maison...Elle s'empressa de lire cette page....elle lut avec intérêt cette page....Une lueur d'espoir brilla dans ses yeux....Elle devait se présenter au recrutement de la Maison Coeur de Lion...Elle devait obtenir un entretien avec Ethan Lionheart...
Elle se précipita et plia le journal nonchalement et rejoignit son abri de fortune, où son ours se trouvait.
Détails que vous jugez bon de préciser (facultatif) :Anette prit sa plume et une feuille de parchemin jauni. Elle alluma sa bougie et commença à écrire :
Cher Seigneur Lionheart,
Suite à votre parution sur La gazette d'Hurlevent au sujet d'un éventuel recrutement, je souhaiterai vous présenter ma candidature....
Désireuse d'intégrer vos rangs, Je souhaiterai pourvoir à un poste d'écuyère dans un premier temps et évoluer au sein de votre maison.
En vous remerciant par avance de l'intention que vous porterez à ma candidature, je vous prie d'agréer, Seigneur Lionheart, mes salutations distinguées.
Anette-Mérédith Desacre
Elle plia soigneusement ce parchemin et le noua avec un lien de cuir. Elle le donnera au premier messager qu'elle trouvera...
HRP (facultatif) :reprise du jeu wow depuis 15 jours. J'avais arrêté car je trouvais que le rp, de plus en plus, devenait de moins en moins interressant et que l'effet du cyber sex noircissait le vrai rp...
Age : 30
Pourquoi nous ? :(je suis retourné sur le forum de kirintor et j'ai lu les guildes qui avait un rp militaire et hierarchiquement bien définie et j'ai trouvé que la Maison Coeur de lion sortait du lot avec son histoire.)