Courrier pour Maître Valenfleur.

A Landebroce, Carmines, le 22/07/38

Ayant été brièvement mis au sujet de l'affaire vous concernant par le biais de ma cousine et de son époux, je me fais fort de vous recevoir au plus tôt et de m'entretenir avec vous afin d'éclaircir ce cas et, je l'espère, vous aider dans vos difficultés.

Malheureusement, et bien malgré moi, mon emploi du temps est présentement chargé. Je ne pourrai vous recevoir qu'à partir de ce vendredi vingt-sept (27) juillet, à la vingt-et-unième (21) heure.
Si cette date et cette heure vous conviennent, je vous invite à me rejoindre, en compagnie de M. Pignac, en notre cabinet dont vous connaissez manifestement déjà l'adresse. Nous étudierons ensemble votre affaire et verrons quelles suites envisager.

En l'attente de votre confirmation, je vous prie de croire, Madame, en l'expression de mes salutations distinguées.

A Landebroce, Carmines, le 22/07/38

Ayant eu le temps d'étudier les pièces de votre dossier, et considérant les actualités les plus récentes, je suis dans la capacité de vous recevoir afin de traiter des suites de votre affaire.

A cet effet, je vous invite à me retrouver en mon office au soir du vingt-et-un août de l'an 38 (21/08/38) aux abords de vingt-et-une heures (21h).
Si cette date et/ou cet horaire ne savaient vous convenir, veuillez m'adresser vos disponibilités par retour à ce message.

En l'attente de votre confirmation, je vous prie de croire, Madame, en l'expression de mes salutations distinguées.

A Landebroce, Carmines, le 22/07/38

Je prends bonne note de votre courrier et vous propose de nous rencontrer, vous, M. Pignac et moi-même en mon étude pour la soirée du 16 septembre, dès la 21ème heure.

En l'attente de votre confirmation, je vous prie de croire, Madame, en l'expression de mes salutations distinguées.